Notre trajet nous fait passer, par la côte, de l’état de l’Alagoas dans celui du Sergipe pour arriver dans l’immense état de Bahia.
Avant de partir, au petit déjeuner, Liucilla nous fait une démonstration de la préparation d’un tapioca à la banane :
Nous prenons la route BR101 vers Aracaju, grosse station balnéaire peu attirante, puis vers Conde et la plage perdue de Siribinha
En chemin, nous passons devant un campement de « Sans Terre » (Le mouvement des sans-terre se réclame d’une longue filiation de lutte pour la terre dont les racines plongent jusque dans le passé colonial du Brésil. Source Wikipédia)
Le soir, après la ville de Conde, nous arrivons au bout de nulle part, après quelques km de pistes le long de l’océan. Le village de Siribinha est minuscule, la Pousada est située au bord de la plage, avec un vent salé qui protège des moustiques. Le confort est « dépouillé », mais l’accueil vaut le détour.
Nous sautons dans l’eau pour nous « défatiguer » du voyage : bonheur !
Avant de partir, au petit déjeuner, Liucilla nous fait une démonstration de la préparation d’un tapioca à la banane :
Nous prenons la route BR101 vers Aracaju, grosse station balnéaire peu attirante, puis vers Conde et la plage perdue de Siribinha
En chemin, nous passons devant un campement de « Sans Terre » (Le mouvement des sans-terre se réclame d’une longue filiation de lutte pour la terre dont les racines plongent jusque dans le passé colonial du Brésil. Source Wikipédia)
Le soir, après la ville de Conde, nous arrivons au bout de nulle part, après quelques km de pistes le long de l’océan. Le village de Siribinha est minuscule, la Pousada est située au bord de la plage, avec un vent salé qui protège des moustiques. Le confort est « dépouillé », mais l’accueil vaut le détour.
Nous sautons dans l’eau pour nous « défatiguer » du voyage : bonheur ! 
